Le merveilleux,
Écoute le merveilleux
Te porter une chance,
À l’aube des cieux
Qui naît en silence,
Par la voix de ce merle
Perché et sifflotant,
La musique qui jaillit
À l’ombre du passant,
Un cri qui enlace
Les larmes du temps
Et un vent brise glace
Pour les neiges d’antan.
Bienvenus beaux rayons
Qui brûlez en mon cœur,
Bienvenus joies, saisons
Et infimes bonheurs.
Les voilà ses grandes sœurs
Qui dansent aux champs
Au zénith des splendeurs
Aux pâquerettes des tourments.
Riez belles candeurs !
Riez comme l’enfant
Pour que tourne dans sa fleur
Mon émerveillement !
Au tarissement des pleurs
Au vernissage du sang
Mes lunes béniront les heures
Mes lunes chériront l’instant.
Madame Maud
Écoute le merveilleux
Te porter une chance,
À l’aube des cieux
Qui naît en silence,
Par la voix de ce merle
Perché et sifflotant,
La musique qui jaillit
À l’ombre du passant,
Un cri qui enlace
Les larmes du temps
Et un vent brise glace
Pour les neiges d’antan.
Bienvenus beaux rayons
Qui brûlez en mon cœur,
Bienvenus joies, saisons
Et infimes bonheurs.
Les voilà ses grandes sœurs
Qui dansent aux champs
Au zénith des splendeurs
Aux pâquerettes des tourments.
Riez belles candeurs !
Riez comme l’enfant
Pour que tourne dans sa fleur
Mon émerveillement !
Au tarissement des pleurs
Au vernissage du sang
Mes lunes béniront les heures
Mes lunes chériront l’instant.
Madame Maud