Printemps sonne fort sous la terre
Printemps tintera au clocher de mon âme
Comme apparaissent ces grains de beauté
Au sol ou suspendus en plein mystère !
Je respire dehors à la moindre invitation
De Dame Nature, je déjeune comme on communie
Au calice avec passion!
Tout est largement sillon offert et m’invite !
Ô douceur messagère !
Ô temps suspends ton vol !
Ces instants encore éphémères
Sont saveur qui s’auréole !
Ô temps suspends ton vol !
Ces instants encore éphémères
Sont saveur qui s’auréole !
Me Nourrit ! mes cils applaudissant mes yeux
A l’heure où tout mort-doré ressuscite,
Suit le fil-amant l'éventail silencieux
Sans jamais rien dire mais montrer anxieux
La timide Chose, en moindre bourgeon suscite !
A l’heure où tout mort-doré ressuscite,
Suit le fil-amant l'éventail silencieux
Sans jamais rien dire mais montrer anxieux
La timide Chose, en moindre bourgeon suscite !
La tiédeur, le bien-être, un doux bien heureux !
Les oiseaux sont de sortie se parlent entre eux
Apprennent « le son » entre ciel et nous
Avec élégance ces volages amoureux !
Les oiseaux s’écoutent à genoux,
Dieu que c’est beau si vous saviez
D’écouter Dame Nature, à l’envier !
Un toi et moi prenant des ailes
C’est écouter la ritournelle
Où le pigeon voyageur
S’est posé sur mon regard pour me regarder
En toute intimité le chant de l’heure !
Polymnie2, hier, 15 février 2018
Les oiseaux sont de sortie se parlent entre eux
Apprennent « le son » entre ciel et nous
Avec élégance ces volages amoureux !
Les oiseaux s’écoutent à genoux,
Dieu que c’est beau si vous saviez
D’écouter Dame Nature, à l’envier !
Un toi et moi prenant des ailes
C’est écouter la ritournelle
Où le pigeon voyageur
S’est posé sur mon regard pour me regarder
En toute intimité le chant de l’heure !
Polymnie2, hier, 15 février 2018
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